Franchise Eléphant Bleu : la sécurité d’un investissement sûr
En 2021, la franchise Eléphant Bleu a gardé la faveur des investisseurs en ralliant 12 nouveaux partenaires. Le réseau en compte aujourd’hui 220 dont 65% ont au moins deux centres. Les franchisés en place ont, pour leur part, contribué au développement du réseau à hauteur de 13 nouveaux centres (création et transformation).
Grâce à l’accompagnement des partenaires bancaires dont la confiance n’a pas faibli, 4 centres à l’enseigne ont été créés et 12 stations concurrentes ont été transformées. Au bilan, le réseau compte 460 centres fin 2021. Parallèlement, près de 60 sites ont doublé leur offre de lavage automatique, élevant à 360 le nombre de portiques sous enseigne.
Les perspectives 2022 s’annoncent tout aussi optimistes avec le projet de 20 créations de site et l’installation de 40 portiques.
CHIFFRES CLES 2021
+12 nouveaux franchisés >> 220 franchisés +16 nouveaux centres (neufs et transformés) >> 460 centres +30 portiques dans le réseau >> 360 portiques
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Le lavage professionnel prend du sens pour de plus en plus d’automobilistes
Le 3e confinement du printemps et une météo estivale maussade ont joué les troubles fêtes. Néanmoins, leur incidence s’est gommée sur l’ensemble de l’année, compensée par une météo globalement clémente, une pluie de sable en février et une arrière-saison, propices au lavage. La période d’août à octobre a enregistré une croissance d’activité de 30% par rapport à 2019. Elle a notamment été stimulée par une campagne de « rentrée des classes » qui a généré une hausse de 36% du lavage automatique.
Ce bilan positif est cependant chahuté par les tensions sur l’approvisionnement en matières premières qui touchent l’activité en particulier au niveau des composants électriques. L’historique et la qualité des relations du groupe avec ses fournisseurs a permis néanmoins jusque-là d’éviter les ruptures de stock et de contenir les hausses tarifaires.
En 2021, Eléphant Bleu a poursuivi la conduite de ses projets tournés vers le service aux automobilistes et l’optimisation de l’activité des centres. La ligne directrice est la fluidité du parcours client, notamment en diversifiant les moyens de paiement. Une quarantaine de centres est aujourd’hui dotée du dispositif de paiement sans contact sur les pistes haute pression et les aspirateurs. Le déploiement se poursuit en 2022.
« Nous mobilisons avec constance nos énergies pour être au rendez-vous des développements favorables à l’expérience client et l’intérêt économique des franchisés de l’enseigne, dans le respect de l’environnement et de notre mission de dépollution de la mobilité », Stéphanie Meder, Responsable du réseau Eléphant Bleu.
Eléphant Bleu, responsable engagé sur la protection de nos ressources en eau
En marge des performances économiques, le réseau reste mobilisé sur les enjeux RSE avec la réduction de l’empreinte environnementale du lavage et la sensibilisation aux bonnes pratiques.
En lavant dans un centre de lavage, l’automobiliste préserve les nappes d’eau souterraines de la pollution et minimise sa consommation d’eau. Les stations Eléphant Bleu fonctionnent comme des stations d’épuration et traitent 100% des rejets du lavage : les boues sont collectées par des organismes agréés et les eaux dépolluées sont dirigées vers les stations d’épuration régionales et réintégrées dans le milieu naturel. Un centre collecte ainsi 6 tonnes de polluants[1] par an (360g/véhicule lavé) et restitue plus de 95% de l’eau utilisée.
En 2021, l’enseigne a lancé avec succès le HP5, son savon biodégradable[2] et sans substance nocive, dédié au lavage haute pression.
Elle a constitué sa délégation d’ambassadeurs de l’eau en formant les franchisés volontaires (une quinzaine), en coordination avec la Branche métier lavage professionnel de Mobilians (ex CNPA).
Enfin, elle a clôturé un partenariat de près de 3 ans avec le navigateur Fabrice Amedeo dans son projet #OCEANCALLING, œuvrant pour la préservation de l’eau et soutenant la recherche scientifique. Eléphant Bleu avait participé au financement du capteur d’analyse de microplastiques en mer embarqué dans l’Imoca.
[1] Hydrocarbures et métaux lourds (phosphore, chrome, nickel, cuivre, zinc, arsenic, cadnium, mercure, plomb).
[2] Selon les lignes directrices de l’OCDE 301 302.