Dépolluer le parc automobile pour protéger les nappes phréatiques, telle est la mission d’Eléphant Bleu. L’enseigne développe des techniques et produits respectueux de l’environnement : utilisation réduite de l’eau dont 95% est restituée dans le milieu naturel, traitement des boues de lavage polluées, innovation dans les produits lavants dont les derniers nés concernent aussi bien le lavage haute pression que le lavage automatique. 

Eléphant Bleu innove et crée l’événement sur son centre de lavage de Saint-Clément-de-Rivière (34) en y installant le 2e tunnel du réseau. La station devient du même coup la première et unique équipée de toutes les solutions de lavage de l’enseigne : haute pression, portique, tunnel et nettoyage intérieur.

Chaque année, un centre de lavage Eléphant Bleu collecte 5 à 6 tonnes de polluants, autant dire le poids d’un éléphant ! L’eau permet de capter cette pollution sur la voiture et seuls les centres de lavage peuvent la récupérer et la traiter. Le réseau fait son travail de dépollution de la mobilité en ne consommant que l’équivalent de 3 dés à coudre (1,5 cl) dans la consommation d’eau quotidienne moyenne d’une personne (148 l). A peine un dé en réalité, plus de 95% de l’eau utilisée étant redirigée vers les stations d’épuration.
Eléphant Bleu porte la voix de ses ambassadeurs et de la filière métier incarnée par le CNPA pour revendiquer la fonction d’utilité publique de sa spécialité, le lavage automobile.

[Infographie] Les pratiques de lavage automobile
Les 43 millions de Véhicules Particuliers et Utilitaires en circulation en France génèrent 232 millions de lavage par an, sur la base d’une fréquence moyenne de 6 lavages par an.
Plus de 50% sont réalisés chez des professionnels, part en constante augmentation. La moitié des automobilistes concernés préfèrent les centres spécialisés pour leur proximité, la qualité de lavage, la disponibilité et le prix.

Activité d’entretien des véhicules, le lavage automobile professionnel fait partie des activités autorisées durant ce confinement. Eléphant Bleu a donc décidé de maintenir le service de ses centres en propre, hormis les boutiques, et le recommande à ses franchisés.

Dans le contexte actuel des départs en vacances, 77%[1] des Français ont l’intention de voyager en voiture. On pense alors à la sécurité en faisant un check up technique. On pense aussi aux bouchons et à la pollution que cette concentration de véhicules va générer… Mais savons-nous que nous pouvons agir, chacun à notre niveau, par un acte simple, rapide et pour quelques euros ? 

Les semaines de confinement ont laissé des traces sur les carrosseries : pollens, poussières, sève, pluies, fientes d’oiseau… Un bon lavage s’impose pour éradiquer les saletés corrosives et retrouver l’éclat de la peinture.
Dans les 470 centres de l’enseigne, Eléphant Bleu a balisé le parcours de ses clients de mesures sanitaires pour qu’ils puissent laver leur voiture en toute confiance. Gel hydroalcoolique, affichage sur les bons gestes à respecter, vidéo descriptive sur le site Internet, sont à disposition.

Des centaines de tonnes de polluants sont collectées annuellement par les centres de lavage Eléphant Bleu.

240g, c’est la quantité de polluants transportée sur la carrosserie d’une voiture. Cette estimation est mesurée à partir des eaux récupérées après chaque lavage dans les fosses de décantation des centres Eléphant Bleu.

Eléphant Bleu et ses centaines de voix disent BRAVO !
Ce week end, Fabrice Amedeo, que soutient Eléphant Bleu dans la compétition et son projet océanographique, a franchi la ligne d’arrivée en Martinique, avec son coéquipier Loïs Berréhar. Ils ont mené leur Imoca à la 10e place de la Transat Jacques Vabre 2021.

A Perpignan et alentours, les deux associés franchisés Eléphant Bleu vont au bout des ambitions qu’ils visaient en rejoignant l’enseigne en 2017. Sébastien Sicart et Julien Escarihuela, tout en conservant leur emploi respectif, l’un dans l’immobilier, l’autre dans l’hôtellerie, voulaient construire ensemble un projet d’investissement économique et écologique.

L’ancrage charentais de Laurane Demski, nouvelle franchisée 

Depuis quelques semaines, Laurane Demski, issue d’une famille d’entrepreneurs, s’est à son tour lancée à son compte. En marge de son emploi de salarié, elle est devenue franchisée Éléphant Bleu en reprenant les deux centres de lavage de Saint-Jean d’Angely.

Un franchisé charentais engagé

Avec la création de son 3e centre Eléphant Bleu (les deux autres sont à Angoulême), Guillaume Drouard, franchisé de l’enseigne depuis 2016, souhaite offrir la meilleure expérience de lavage aux automobilistes de la région.

 Les centres Eléphant Bleu de Côte d’Armor font peau neuve

M. Poidevin est franchisé Eléphant Bleu depuis 1990. Ce natif de la région est un passionné d’automobile, ancien concessionnaire, et désormais gestionnaire de centres de contrôle technique et de stations de lavage.
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Les Côte d’Armor compte 7 centres Eléphant Bleu. Aux 2 nouveaux de Saint-Quay Perros et Lannion s’ajoutent ceux de Saint-Brieuc, Lezardieux, Paimpol, Guingamp et Minihy Treguier. Satisfaction clientet protection de l’environnement font partie de leur ADN .

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Erwan Renaud, nouveau franchisé, a créé son centre de lavage

Avec la création de son centre de lavage il y a quelques mois, Erwan Renaud entame une nouvelle vie professionnelle, en passant de salarié chez Total à franchisé Eléphant Bleu. Doté d’une installation neuve au top de la technologie et des services de spécialiste, Erwan Renaud apporte à Tonnay Charente une offre nouvelle tournée vers la satisfaction des clients. Le taux de fidélité est élevé, l’objectif est atteint.

A 22 ans, Betina Miranda devient franchisée de 2 centres

Avec l’arrivée de Betina Miranda dans son réseau, Eléphant Bleu, l’enseigne aux 470 centres de lavage et 220 franchisés, a une nouvelle belle histoire à raconter… A 22 ans, associée avec son père, elle rachète en août dernier deux centres historiques, puisque implantés depuis 35 ans à Mimizan, sa ville natale, et Biscarrosse. L’étincelle intergénérationnelle opère avec Betina qui a entrepris de gérer seule l’activité aux côtés du salarié exploitant, en poste depuis 3 ans.